Concours d’Ecriture Théâtrale lectures publiques et gratuites des 5 textes finalistes

(par la Cie Epigramme sous la conduite de Emmanuelle LORRE)

Samedi 25 septembre

14h00 : Ouverture et présentation jury et candidats

Jury : Marion Aubert (présidente), Marie-Claude Billard (conservateur BNF rattachée à la maison Jean Vilar), Magali Sivan-Parrini (comédienne), Stéphane Schler (auteur, lauréat Niaca 2002) Jean-Marc Verdu (auteur).

14h30 : «Le temps de filer» (Sophie Bisson) : Jour après jour, le temps d’une pause, un homme et une femme se retrouvent et s’aiment dans l’enceinte protégée de leur entreprise, créant ainsi un monde irréel et poétique qui n’appartient qu’à eux.

16h30 : «Betty B’oup !» (Noëlle Verrieras) : Amour, raison, amitié… On est embarqué aux côtés de Clara, Jerry, Gérard, Stéphanie, Laure et Mathilde dans une valse des sentiments. Des dialogues vifs donnent un rythme soutenu à cette pièce riche en rebondissements.

à 20h30

Présentation de l’œuvre de Marion Aubert

(présidente du jury du concours)

Sous forme d’extraits donnés par les élèves du Conservatoire de théâtre de Cannes sous la direction d’Alain Terrat.

Comédienne et auteure d’une vingtaine de pièces de théâtre, la plupart éditées chez « Actes-Sud », Marion Aubert est née en 1977 à Aurillac. « Petite pièce médicament » écrite en 1996 est sa première pièce. Viennent ensuite « Epopée lubrique », « Les pousse-pions », « Saga des habitants du Val de Moldavie », « Les aventures de Nathalie Nicole Nicole » ou encore « Orgueil, poursuite et décapitation ». Ses pièces sont jouées au CDN de Montpellier, au Théâtre national de la Colline ou au Théâtre du Rond-Point. Son écriture s’attache à décrire des personnages à la fois acteurs et victimes de la folie ordinaire de notre monde. Elle ouvre des chemins de pensée troublants où se mêlent poésie et cruauté, délicatesse et force. Une écriture affirmée, épanouie et férocement jubilatoire. Marion Aubert a participé à la création de la « Coopérative d’écriture » en compagnie de douze autres auteurs dramatiques.

Dimanche 26 septembre

14h00 : «Susanna Rizzi» (Geneviève Flaven) : Au début de la Renaissance, le contrat de mariage n’existe pas dans sa forme actuelle. Le flou juridique des unions devant Dieu entraîne des conflits d’intérêts et de pouvoirs, des situations où l’hypocrisie des puissants peut faire la justice.

16h00 : «Bouillon d’hormones» (Nicole Weide) : Un homo transformiste à qui la loi interdit d’adopter rencontre une femme dénuée de féminité et lui propose de lui faire un enfant… Cela donne une comédie légère et rythmée qui interroge en filigrane sur la question d’être parent.

18h00 : «Al» (F Rey et P Regnicoli) : Une plongée dans le Chicago des années 20, un épisode de la vie d’Al Capone. Entre portrait psychologique, pièce historique et farce provocatrice, la pièce aborde le « mythe » sous un angle original.

21h00 : Résultat et clôture des 14èmes « Rencontres »

(renseignements : 06.88.75.34.46)