MIPIM 2011 à CANNES : LE GRAND PROJET GRENOBLE PRESQU’ILE…

Comme l’année dernière Grenoble Presqu’ile était venue présenter son projet urbain sur la plate-forme incontournable du MIPIM à Cannes.

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Geneviève FIORASO au microphone , Christine CRIFO et Christian DE PORTZAMPARC

Lors de la conférence Geneviève FIORASO, Adjointe au Maire de Grenoble, Première Vice-Présidente à la Metro, Présidente du Comité de pilotage Grenoble Presqu’ile Giant ainsi que Christine CRIFO, Présidente de la SEM Innovia Grenoble durablement, Vice-Présidente du Conseil général de l’Isère exposaient le projet d’Ecocité novateur, au service de la ville de demain.
Cette conférence a été également l’occasion de présenter le nouvel architecte, Christian de PORTZAMPARC.
Ecouter les discours passionnants de ces 3 intervenants (audio).

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Discours de Geneviève FIORASO, Adjointe au Maire de Grenoble, Première Vice-Présidente à la Metro, Présidente du Comité de pilotage Grenoble Presqu’ile Giant

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Discours de Christine CRIFO, Présidente de la SEM Innovia Grenoble  

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Christine CRIFO Présidente de la SEM Innovia GRENOBLE

 

 

 

 

 

 

 

  

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Discours de Christian DE PORTZAMPARC Architecte

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Christian DE PORTZAMPARC Architecte

Christian de Portzamparc, nouvel architecte en chef du projet Grenoble Presqu’île

L’arrivée de Christian de Portzamparc, qui succède à Claude Vasconi comme architecte en chef, marque une nouvelle phase pour le projet urbain Grenoble Presqu’île.

A l’origine, le plan guide de ce projet urbain ambitieux, sur une ZAC de 250 hectares, a été conçu par l’architecte-urbaniste, Claude Vasconi, avec une philosophie : décloisonner, lier la ville à la ville. Talentueux, humaniste, Claude Vasconi, malheureusement disparu, aura éclairé, pendant près de quatre années, la réflexion commune avec les habitants, les acteurs scientifiques et les institutions.

Aujourd’hui, porté par la Ville de Grenoble et la SEM InnoVia Grenoble Durablement, désignée aménageur, le projet Grenoble Presqu’île démarre ses premiers grands chantiers.

Plus que jamais, se pose la question de la cohérence et de la qualité des espaces publics, des formes urbaines, la nécessité d’une vision globale d’aménagement de ce nouveau quartier, de ce campus d’innovation en plein cœur de la ville, en lien avec les projets urbains avoisinants (Esplanade, centre-ville, pôle gare), avec la stratégie de développement économique et urbain de l’agglomération grenobloise. L’enjeu : imaginer une ville durable, attractive, créative, qui réunit et rassemble. L’arrivée de Christian de Portzamparc comme architecte en chef marque donc une étape importante pour le projet Grenoble Presqu’île.

Christine Crifo, Présidente de la SEM Innovia Grenoble durablement, aménageur de la ZAC Grenoble Presqu’île, vice-Présidente du Conseil Général de l’Isère

Geneviève Fioraso, Députée, Adjointe au Maire de Grenoble en charge de l’économie et de l’innovation, Présidente du comité de pilotage Grenoble Presqu’île Giant

Christian de Portzamparc, nouvel architecte en chef du projet Grenoble Presqu’île

Christian de Portzamparc :

Grand Prix Pritzker, Grand Prix de l’Urbanisme, Christian de Portzamparc est considéré comme l’un des plus grands architectes et urbanistes de son temps. Né à Casablanca en 1944, diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1969, Christian de Portzamparc fonde sa première agence d’architecture en 1980. Aujourd’hui c’est une équipe soudée de 80 personnes construisant dans le monde entier, établie à Paris avec des « satellites » sur les chantiers et des bureaux à New-York et Rio de Janeiro.

Du bâtiment au quartier, la ville est un sujet fondateur de son travail, s’appuyant sur une vision, celle de « l’îlot ouvert », qui nourrit ses réalisations dans le monde entier, pour des quartiers, des « morceaux de ville » ou des bâtiments exceptionnels.

Grenoble ; « capitale secrète de l’Europe pour l’innovation »

Un écosystème d’innovation unique, ancré dans le temps

En 2010, une enquête de l’INSEE a classé Grenoble comme métropole la plus attractive pour les cadres, en région (avec 14 % de ses emplois relevant de fonctions intellectuelles et de conception-recherche). Un classement qui reflète la dynamique d’une métropole qui a fait de l’innovation le moteur de son développement. Depuis plusieurs décennies, Grenoble doit sa réussite à un « écosystème grenoblois » qui articule recherche-université-industrie, acteurs publics et privés, dans une gouvernance efficace, collaborative, au service de projets structurants et innovants, créateurs d’emplois durables.

De Louis Néel à Minatec, premier pôle européen dédié aux micro et nanotechnologies, ce sont plus de 50 ans de réussite scientifique, universitaire, industrielle qui ont façonné le site de la Presqu’île. Creuset d’innovation, moteur du développement économique de toute une région, la Presqu’île est aujourd’hui positionnée dans trois domaines stratégiques : la micro et nanoélectronique, les biotechnologies et la santé et les nouvelles technologies de l’énergie. Au moment où l’économie de la connaissance est plus que jamais l’un des principaux enjeux du développement, l’ensemble des acteurs locaux sont mobilisés autour du projet urbain Grenoble Presqu’île et du projet scientifique et universitaire, GIANT.  

Grenoble en chiffres

• une région urbaine de 700 000 habitants

• 62 300 étudiants dont 15 % d’étudiants étrangers

• 22 000 chercheurs publics et privés

• 3 prix Nobel de physique, 1 prix Nobel de chimie, 1 prix Turing

• 40 000 emplois directs dans les technologies de l’information

• 11 000 emplois directs dans les Nouvelles Technologies de l’Energie

• 10 000 emplois dans les biotechnologies et 3 fois plus d’emplois indirects

• N° 1 en France en emplois de recherche, ingénieurs et cadres supérieurs

• 4 grands équipements scientifiques internationaux, dont le synchrotron, qui accueillent chaque année 18 000 chercheurs publics et privés

• 4 pôles de compétitivité : Minalogic pour les systèmes miniaturisés intelligents, Tenerrdis pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, Lyon biopole Rhône Alpes pour les biotechnologies, Axelera pour la chimie

• un pôle d’innovation en micro et nanoélectronique qui a accueilli 30 000 visiteurs en 2010, compte 3 000 emplois directs publics et privés et 1 500 étudiants 

• Impact économique annuel sur l’économie iséroise des huit institutions de la Presqu’île, partenaires de GIANT, incluant la filière microélectronique et informatique : 4 milliards d’euros en 2008, soit un quart du PIB de l’agglomération grenobloise.

Grenoble Presqu’île, une ambition forte à l’image du territoire

« Sur 250 hectares, Grenoble Presqu’île s’affirme comme un des plus vastes projets urbain, scientifique, universitaire et économique en Europe, avec 1,3 milliard d’euros d’investissements sur 15 ans ».

Ce soutien constant à l’innovation se traduit également par une politique volontariste des collectivités locales en matière d’aménagement urbain, avec des projets d’envergure (Caserne de Bonne, Bouchayer-Viallet, Esplanade, Presqu’île), dessinant le nouveau visage de Grenoble, celui d’une métropole européenne attractive, dynamique et innovante.

Avec ces grands projets urbains et pour concilier les enjeux du développement durable (économique, écologique, social), Grenoble défend un modèle de « développement intégré » favorisant la mixité sociale et la diversité des fonctions urbaines : activités économiques (industries, commerces, services), habitat, déplacements, sport et culture.

Cet engagement se traduit par des investissements forts pour l’avenir de la métropole, à l’instar du projet Grenoble Presqu’île. Sur 250 hectares, Grenoble Presqu’île s’affirme comme un des plus vastes projets urbain, scientifique, universitaire et économique en Europe, avec 1,3 milliard d’euros d’investissements sur 15 ans.

Les enjeux : créer un nouveau quartier de vie au cœur d’une région urbaine de 700 000 habitants, positionner Grenoble comme un campus d’innovation international, GIANT.

L’ambition : du quartier à l’international, le projet conjugue l’ambition du territoire à toutes les échelles en imaginant un nouveau modèle urbain qui conjugue qualité de vie, innovation technologique et mixité sociale.

L’année 2011 marque une nouvelle étape dans le projet Grenoble Presqu’île avec le démarrage désormais bien visible des premiers chantiers et les premières livraisons de bâtiments. C’est un nouveau visage de la Presqu’île qui se dessine.

« Grenoble Presqu’île est un projet ambitieux, passionnant, qui mobilise l’ensemble des acteurs locaux et concentre l’ensemble des enjeux économiques, sociaux, urbains, écologiques auxquels se trouvent aujourd’hui confrontées les grandes métropoles. 

« Le réaménagement de la Presqu’île est une formidable opportunité pour notre agglomération, notre région urbaine. C’est là que se dessine l’avenir économique d’un territoire, là où s’imagine la ville de demain ».

> Geneviève Fioraso, Députée de l’Isère, Adjointe au Maire, présidente du comité de pilotage Grenoble Presqu’île – Giant.

« Choisie par la Ville de Grenoble en octobre 2009 pour aménager la Presqu’île, la SEM InnoVia mettra toute son expertise et l’expérience acquise sur des projets d’aménagement urbains emblématiques comme les écoquartiers de Bonne et Bouchayer-Viallet, au service de ce projet ambitieux pour toute une région. Mixité sociale et fonctionnelle, maîtrise de l’énergie, respect de l’environnement, qualité architecturale et urbaine, autant de priorités pour la SEM InnoVia, pour faire de Grenoble Presqu’île un projet innovant ».

> Christine Crifo, Présidente de la SEM InnoVia Grenoble Durablement.

Au coeur de l’ÉcoCité, Grenoble Presqu’île, un démonstrateur exemplaire

Grenoble compte parmi les 13 projets ÉcoCité retenus par le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de la Mer.

Le projet Grenoble Presqu’île est au coeur de ce dossier ÉcoCité, au coeur d’une réflexion globale visant à doter l’aire urbaine grenobloise d’une centralité d’échelle européenne.

S’appuyant sur l’expérience des écoquartiers de Bonne et Bouchayer-Viallet et sur l’expertise technologique et industrielle du pôle d’innovation grenoblois, Grenoble Presqu’île propose un projet ÉcoCité novateur, un territoire de démonstration de 250 hectares au service de la ville de demain, de la ville post-carbone, d’un modèle qui diffuse sur l’ensemble d’une région.

« L’enjeu pour l’agglomération est de profiter de cet ambitieux projet pour tisser des liens étroits avec les territoires environnants, notamment pour construire une stratégie économique s’appuyant sur le concept de zone d’innovation Ouest. Il s’agit aussi d’anticiper à cette échelle les dynamiques urbaines liées à l’évolution des grandes infrastructures de déplacement, de penser les fonctions résidentielles à y introduire et de mettre en valeur le potentiel exceptionnel du grand paysage, de la confluence Drac- Isère et de l’environnement ».

> Marc Baïetto, Président Grenoble Alpes Métropole, co-Président du comité de pilotage Grenoble Presqu’île – Giant.

« La Caisse des Dépôts, investisseur pionnier et avisé dans le cadre des politiques des collectivités territoriales, se devait d’être présente dès les prémices de ce projet où l’avenir de Grenoble se dessine.

Les atouts scientifiques et économiques de ce site de renommée internationale et la dynamique de ses acteurs portent l’ambition collective du projet d’aménagement pour en faire un quartier de ville et un campus d’innovation de rang mondial, avec une exigence de développement durable et l’objectif d’un site carbone neutre. Retenue au titre d’ÉcoCité dans le cadre des Investissements d’Avenir, ce projet stratégique devrait mobiliser 1,3 milliard d’euros au cours des 20 prochaines années et représentera une part très significative du potentiel d’investissement de l’agglomération. »

> Claude Blanchet, directeur inter-régional de la Caisse des Dépôts.

« Grenoble Presqu’île propose un territoire de démonstration de 250 hectares au service de la ville de demain, de la ville post-carbone ».

IMAGINER LA VILLE DE DEMAIN

Le site de la Presqu’île est aujourd’hui un pôle scientifique et économique stratégique, sur lequel travaillent plus de 15 000 salariés et qui accueille plus de 16 000 chercheurs étrangers chaque année. Et pourtant, ce site compte à peine plus de 800 habitants, est isolé et ne bénéficie ni d’équipements collectifs, ni de commerces ou lieux de convivialité.

L’aménagement de la Presqu’île est donc une formidable opportunité pour Grenoble.

L’occasion de faire d’un campus d’innovation un véritable quartier de vie, relié à la ville, avec toutes les fonctions et services urbains.

L’occasion d’imaginer un nouveau modèle urbain pour une ville créative, désirable et durable, une ville innovante qui réunit et qui rassemble.

Les priorités :

– la mixité : mixité d’usages avec la possibilité de travailler, étudier, se loger, vivre

La mixité sociale avec des logements sociaux et en accession à la propriété, des logements étudiants et familiaux ;

– l’attention portée aux liaisons urbaines, avec le pôle gare réaménagé, avec le centre ville et le futur quartier Esplanade, avec les communes avoisinantes ;

– la qualité des espaces publics pour créer des rencontres entre habitants, chercheurs, salariés, étudiants. L’enjeu est autant urbain que scientifique pour favoriser la convivialité mais aussi la créativité, les synergies nouvelles au service de l’innovation, du transfert de technologie, du progrès scientifique, du progrès social et sociétal ;

– le développement durable.

Un projet carbone neutre

Tout est mis en œuvre pour proposer un bilan carbone neutre pour la consommation électrique en répondant à trois défis :

– produire une énergie décarbonée (photovoltaïque, biomasse, hydraulique) ;

– économiser et maîtriser l’énergie (bâtiments basse consommation et Haute Qualité Environnementale, récupération d’énergie, toiture végétalisée, smart grids…) ;

– agir pour une mobilité durable en diminuant la part d’auto-solistes (à 25%) dans la continuité de PDE ambitieux, avec l’extension du tramway, l’aménagement de pistes cyclables, la mise en place d’une politique de stationnement volontariste (1 place pour 10 habitants)…

Deux exemples de projets novateurs et expérimentaux :

– le projet de mobilité électrique associant constructeurs, opérateurs et laboratoires de recherche ;

– l’action pilote, déposée auprès de l’ADEME, sur les réseaux intelligents (« smart grids »), visant à offrir des solutions concrètes de maîtrise énergétique auprès des consommateurs : projet mené en lien avec le projet Confluence à Lyon et mobilisant tous les acteurs de l’énergie, Schneider Electric, GEG, ERDF, GDF-Suez, Grenoble INP, CEA, Tenerrdis…

L’enjeu du projet ÉcoCité Grenoble Presqu’île, est aussi de préserver la biodiversité d’un site unique, à la confluence de deux rivières, en restituant les berges aux Grenoblois, en développant un projet d’aménagement d’espaces publics et d’espaces verts respectueux du caractère naturel du site, de son environnement exceptionnel.

« Imaginer un nouveau modèle urbain pour une ville créative, désirable et durable, une ville innovante qui réunit et qui rassemble ».

Grenoble Presqu’île, GIANT : le pari de l’innovation au service du territoire

Créer un Campus d’Innovation de rang mondial : GIANT

Véritable creuset de l’innovation, la Presqu’île scientifique est le principal moteur de la croissance économique de l’écosystème grenoblois. Aujourd’hui, tous les acteurs sont réunis autour du projet GIANT, né de l’initiative de Jean Therme, directeur de la recherche technologique du CEA, pour faire de Grenoble un Campus d’Innovation de rang mondial. S’appuyant sur l’expérience réussie de MINATEC, GIANT c’est une stratégie, celle de la synergie et de la concentration des compétences autour de 3 centres d’excellence répondant à 3 enjeux sociétaux : MINATEC pour les technologies de l’information, GreEn pour les énergies du futur et Nanobio pour les biotechnologies et la santé. Une stratégie qui s’appuie sur 3 pôles de compétence transverses, qui sont des atouts forts de Grenoble : la recherche fondamentale, les grands instruments européens et le management de la technologie qui accompagne les innovations jusqu’au marché.

« Le polygone scientifique, c’est plus de 50 ans d’histoire dédiée à la recherche et à la technologie qui ont propulsé Grenoble au rang de deuxième métropole des sciences.

Aujourd’hui, pour rester dans la course et répondre aux enjeux sociétaux fondamentaux en matière d’information, d’énergie et de santé, le collectif d’organismes de recherche et d’enseignement du polygone, en synergie avec les acteurs de l’Université et le domaine universitaire de Saint-Martin-d’Hères, s’est mis en ordre de marche autour du projet « GIANT », imaginé par le CEA Grenoble. Il vise à positionner l’écosystème grenoblois au meilleur niveau mondial de l’innovation technologique et sur des domaines clés pour le XXIe siècle. Tout l’enjeu est de préparer l’avenir en mettant l’accent sur la formation, la qualité de la recherche fondamentale, la maîtrise technologique et la capacité d’innovation : ce sont aujourd’hui des facteurs déterminants à l’échelle internationale, ceux sur lesquels investissent massivement les sites les plus dynamiques. Ce sont aussi ceux qui garantissent dans les pays développés les emplois durables de demain. »

> Jean THERME, directeur du CEA Grenoble, directeur de la recherche technologique au CEA, co-Président du comité de pilotage Grenoble Presqu’île – Giant.

Conforter le développement économique et l’attractivité d’un territoire

Les collectivités apportent tout leur soutien à ce projet stratégique pour l’avenir de tout un territoire. Faire le pari de l’innovation, c’est avant tout conforter la dynamique économique, accélérer le processus d’innovation dans tous les secteurs de l’économie et, in fine, créer des emplois durables.

Un exemple : le Bâtiment des Industries Intégratives (B2I), livré cette année, dont la mission sera de diffuser l’innovation technologique dans le tissu des PME-PMI régionales dites « intégratives » (énergies, mécanique, chimie, optique, textile, papeterie…).

L’enjeu est aussi de renforcer le cœur économique de la région grenobloise. Le site de la Presqu’île compte en effet de grandes entreprises, impliquées dans le projet, qui renforcent aujourd’hui leurs activités : extension en 2009 du centre de R&D de BioMérieux (18 millions d’euros d’investissement dans un bâtiment de 2 600 m2), développement de l’unité de conception et design de ST Microelectronics, extension de 25 000 m2 prévue pour le pôle recherche et innovation de Schneider Electric, investissement de 10 millions d’euros prévu par Siemens pour rénover et renforcer son site.

Texte : Régina SEIGLE
Photo/ Audio : © Gérald VAYSSE (cliquer sur les photos)
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