Lancé en 2008, le Projet Voltaire est un service d’apprentissage en ligne de l’orthographe. Le module d’e-learning proposé par le Projet Voltaire a été créé en collaboration avec un comité d’experts en orthographe, piloté par Bruno Dewaele, champion du monde d’orthographe ; il permet d’acquérir les bons automatismes dans le domaine des règles fondamentales de l’orthographe et de la grammaire. Depuis le lancement du premier exercice d’entrainement le 27 novembre 2008, le cap du milliard d’exercices réalisés par les utilisateurs vient d’être franchi en ce début d’année 2017. Un chiffre qui donne le tournis, surtout lorsqu’on sait que lors de certains pics de téléchargement jusqu’à 77 exercices peuvent être réalisés chaque seconde sur le site du Projet Voltaire (avec un délai de réflexion moyen de 11 secondes par question) !

Après avoir reçu plusieurs prix tels que le prix Richelieu Senghor ou encore le prix excellenceLearning, le Projet Voltaire poursuit son développement et compte aujourd’hui plus de 4 millions d’utilisateurs de tous âges, dont 1500 établissements d’enseignement et 700 entreprises.

Une réussite qui se traduit également par le nombre croissant de candidats qui passent le Certificat Voltaire, un nombre qui va dépasser les 100 000 inscrits en 2017. Créé en 2010, le Certificat Voltaire est un examen qui se déroule dans un des 500 centres agréés (sous surveillance et vérification d’identité) et qui certifie un niveau en orthographe (comme le TOEIC® pour l’anglais) pour rassurer les recruteurs. Ces derniers sont 82 % à se dire sensibles à l’orthographe des candidats.

Le Projet Voltaire a lancé le Baromètre Voltaire en 2015 : une étude sur les Français et l’orthographe, et présentera les résultats du 3e baromètre portant sur le premier semestre 2017.

Et pour encore plus d’informations : www.projet-voltaire.fr

À propos de Woonoz

Woonoz est la start-up lyonnaise qui a imaginé et développé le Projet Voltaire. Créée en 2005, elle fait aujourd’hui partie des 500 entreprises françaises les plus dynamiques (Les Échos – 2017).