La Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg ont décidé dès 2009 de revenir dans la compétition que se livrent les grands centres urbains français et européens en matière d’attractivité pour les entreprises et les talents afin d’assurer et pérenniser leur développement autant que leurs emplois.
Pour la 2ème année consécutive, STRASBOURG et ses partenaires s’exposent au MIPIM, le salon international de l’immobilier d’entreprise au Palais des Festivals de Cannes du 8 au 11 Mars 2011, afin de renforcer la visibilité de leur offre économique territoriale et présenter leur nouvelle marque économique internationale.
Dans une démarche partenariale, fédérée autour du projet économique de Strasbourg, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin (CCISBR), l’Université de Strasbourg (UdS), la Wirtschaftsregion Offenbourg/Ortenau (WRO), la société d’aménagement et d’équipement de la Région strasbourgeoise (SERS) se sont regroupées sur le stand Strasbourg 01.02, niveau 1.
Strasbourg, ville frontalière et centre européen notamment grâce à son hub TGV en émergence, jouit d’une réputation d’excellence, notamment en matière de recherche scientifique. Elle dispose d’atouts forts qui ne demandent qu’à être consolidés, valorisés.
« Strasbourg Eco 2020 »
Strasbourg se destine à devenir un véritable laboratoire économique européen.
A l’appui de cette ambition forte, une stratégie économique a été élaborée en 2009, qui ancre Strasbourg dans le long terme par la déclinaison de 5 objectifs fondamentaux : elle est Européenne, Entreprenante, Expérimentale, Ecologique et Ethique.
Structurée autour de 7 projets phares, la stratégie « Strasbourg Eco 2020 » s’appuie sur de nombreuses actions concrètes telle l’expérimentation en première mondiale des véhicules hybrides rechargeables de Toyota avec leur charge EDF ou encore l’émergence de projets immobiliers innovants (Ecocité « Strasbourg métropole des deux-rives », en partenariat avec la ville voisine allemande de Kehl ; 10 projets de construction en autopromotion).
Le MIPIM 2011 à Cannes pour présenter les projets phares, les compétences et les ambitions de chaque partenaire en matière de développement économique, d’infrastructures, d’offres foncière et immobilière.
Strasbourg et la Communauté urbaine de Strasbourg
Strasbourg est le chef lieu de la région Alsace et du département du Bas-Rhin (67). C’est la commune-centre insérée depuis 1966 dans une agglomération de 28 communes qui forment la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS)
La Communauté urbaine de Strasbourg est une forme de coopération intercommunale qui introduit la notion de solidarité financière et de défense d’intérêts communs. Tout en préservant l’indépendance des communes, elle assure une meilleure gestion et ouvre un horizon de développement plus vaste dans les domaines qui relèvent de sa compétence.
Depuis 1972, les services de la Ville de Strasbourg et de la Communauté urbaine sont regroupés en une administration unique qui employait 6678 personnes au 30 octobre 2009. Depuis le 18 avril 2008, M. Jacques Bigot préside le Conseil de la Communauté urbaine. Le conseil est formé de 90 membres désignés par les communes, le nombre de leurs représentants étant proportionnel à leur importance démographique. Depuis mars 2008, Roland Ries est Maire de Strasbourg.
La CUS exerce des compétences bien définies : infrastructures urbaines, urbanisme, logement, transports et développement économique
À la Ville est confiée la politique de proximité qui s’illustre dans les sphères suivantes : culture, écoles, action sociale, jeunesse, sport, espaces verts et forêts, éclairage public, mairies de quartier, tourisme, sécurité.
Superficie de la ville : 78, 27 km²
Superficie de la CUS : 316 km²
Nombre d’habitants à Strasbourg : près de 280.000, qui en font la 7ème ville de France
Nombre d’habitants de la CUS : près de 475.000
Une population jeune : 24% ont moins de 20 ans, 60 % ont moins de 40 ans
Population active : près de 225.000
Strasbourg s’affirme et s’affiche en lançant sa marque territoriale
L’ambition de Strasbourg Eco 2020 : se doter d’une stratégie de développement et d’attractivité économiques concertée et co-construite avec les acteurs économiques français et allemands pour conquérir des parts de marché dans la compétition des territoires métropolitains.
La démarche de marque a été annoncée depuis 2 ans dans Strasbourg Eco 2020. Rappeler le positionnement Strasbourg laboratoire européen, qui repose sur 5 valeurs, les 5 E et le sens véhiculé :
Européenne de par son histoire, ses institutions, sa géographie, son avenir économique, Strasbourg est indiscutablement européenne.
Entreprenante quant aux lieux de créativité, d’actions et de prise de risque qui créé les conditions favorables à l’activité économique
Expérimentale comme berceau de la recherche et de l’innovation avec un dispositif de transfert et de valorisation performant pour développer la création d’entreprises innovantes, et expérimenter les nouvelles technologies et les nouveaux concepts sur son territoire
Ecologique parce que jouissant d’un cadre de vie exceptionnel reposant sur la prise en compte des enjeux
Environnementaux auregard du plan climat, déplacements, éco-quartiers, nature en ville…
Ethique puisque libre et ouverte, solidaire, symbole des droits de l’homme, tradition coopérative et partenariale
Sur cette base, un travail d’approfondissement a permis d’aboutir à une marque économique, une marque d’attractivité, une marque internationale. Cette marque n’entre pas en concurrence avec la démarche de réflexion sur une marque régionale alsace qui devrait aboutir à l’automne 2012. Au contraire, la marque de la métropole facilite et enrichit la démarche régionale quant au travail déjà effectué sur le positionnement et les valeurs.
Comme la Bretagne avec Rennes, l’Alsace et Strasbourg disposent d’une identité forte et constituent les deux marques naturelles d’attractivité. De par son statut et ses fonctions internationales et son ambition en matière de promotion et d’attractivité économiques, Strasbourg est légitime à lancer sa propre marque, dont les valeurs (le dynamisme, l’esprit d’entreprendre, la confiance en l’avenir, la ville où investir, la créativité, l’Europe de demain…) sont compatibles avec celles de la région et des partenaires économiques.
Cette marque sera à la disposition de l’ensemble des partenaires, qui souhaiteront se fédérer pour développer les effets levier d’une promotion commune. Un kit d’utilisation de la marque sera mis à disposition de nos partenaires.
La stratégie de lancement de la marque s’inscrit dans le cadre du MIPIM, du 8 au 11 mars à Cannes et a été déclinée sur l’ensemble des opérations de promotion/communication de Strasbourg et de ses partenaires de la gouvernance économique.
Une ville connectée au monde
Une position stratégique au sein des principaux marchés et des centres d’affaires européens : Paris, Lyon, Luxembourg, Zurich, Bruxelles, Francfort, Milan… Un tiers des pays de l’Union européenne ont une frontière à moins de 500 km de Strasbourg.
Forte de ces potentiels de développement et aidée par des projets d’infrastructures de grande envergure, qui confirmeront sa situation de centralité européenne (le TGV nord-sud « Francfort-Lyon-Marseille-Barcelone » croisera fin 2011 le TGV Est- Ouest), Strasbourg devrait retrouver sans mal son attractivité tant auprès des entreprises que du public.
Au coeur du réseau mondial des télécommunications
Sur le 3ème axe mondial d’internet (reliant Paris à Francfort et à l’Europe centrale ainsi que francfort à Bâle, Zurich et aux grandes villes d’Italie du sud de l’Europe),un réseau en boucle de fibres optiques reliant Strasbourg à Paris, Lille, Francfort, Amsterdam, Bruxelles et Londres, un GIX (noeud d’échanges internet haut débit), des IDC (Internet Data Centers)
Strasbourg est la 2ème ville française et la 15ème ville européenne pour la présence d’opérateurs de télécommunication. 10 000 personnes travaillent à Strasbourg dans les TIC.
Une ville polyglotte
L’apprentissage d’une langue étrangère à Strasbourg est fortement facilité grâce à des cursus bilingues et trilingues. L’enseignement de l’allemand commence dès l’école primaire.
Les sections internationales et l’Ecole européenne (créée en 2008 et 1ère en France) accueillent des élèves étrangers (entre 25 et 50% de l’effectif des sections) ainsi que des élèves binationaux.
L’Europe à 320 km/h
Strasbourg est reliée par des TGV directs à Paris (2h19 aujourd’hui, 1h50 en 2015), aux villes allemandes de Munich, Stuttgart et Karlsruhe, aux villes suisses de Zurich et Bâle, à Lille, et aux villes de la côte atlantique(Rennes, Nantes, Bordeaux). Les liaisons en direction de Londres et de Bruxelles sont facilitées via l’aéroport Roissy Charles de Gaulle et Lille.
Hub européen des Lignes à Grande Vitesse (LGV) à la croisée stratégique des deux axes ferroviaires à grande vitesse qui structureront l’Europe :
? Londres – Paris – Strasbourg – Munich – Budapest
? Hambourg – Francfort – Strasbourg – Lyon – Marseille – Barcelone
TGV Rhin Rhône : 2011
2ème phase de la LGV Est : 2015 (Paris-Strasbourg 1h50)
RennesParisLondresLilleBruxellesLuxembourgFrancfortStuttgartBudapest
KarlsruheMulhouseBâleZürichLyonMarseilleBordeauxBarceloneen 2012en 2012MilanSTRASBOURGMunichHambourgNantes
Destination : le monde
? À Strasbourg, 250 destinations
Elles sont accessibles au départ de l’aéroport international de Strasbourg-Entzheim, situé à 15 minutes du centre ville par la route et à 9 minutes en train cadencé (4 navettes gare/aéroport par heure).
13 villes françaises desservies en vols réguliers directs 6 destinations européennes et 4 internationales 16 destinations en vols charter vacances 103 villes de l’Union européenne sont accessibles en une matinée de correspondance.
? À une heure, l’Europe classe affaires
L’aéroport de Bâle-Mulhouse offre des liaisons avec les principaux centres d’affaires européens et mondiaux, par vols directs ou via les principaux hubs européens.
? À deux heures, le bout du monde
Les aéroports de Paris Roissy (2h25 par TGV direct), Francfort et Zurich (2h par la route) donnent accès à tous les vols intercontinentaux imaginables.
Projet de création d’une société d’exploitation aéroportuaire « Aéroport International Strasbourg » – entrée de la CUS au capital de la future société d’exploitation aéroportuaire.
L’aéroport de Strasbourg a une nouvelle ambition de développement et souhaite se repositionner par rapport aux aéroports de tout le secteur. Il est situé à proximité des aéroports de Francfort, de Zurich et de l’Euroairport de Bâle-Mulhouse. 6 aéroports internationaux dans le bassin rhénan de Bâle / Mulhouse à Francfort et une douzaine à 240 km de distance environ.
La Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin (CCISBR), dont la concession arrive à terme en 2016, a engagé en 2009 le processus de création d’une Société d’Exploitation Aéroportuaire (SEA). La construction du business plan a été effectuée en lien avec les collectivités territoriales, régulièrement informées.
La SEA, tout en améliorant la gouvernance et la transparence, permettra à l’aéroport de se doter de moyens supplémentaires pour la reconquête des marchés.
Le Rhin, 1er fleuve commercial d’Europe
Le Port Autonome de Strasbourg est à 40h de la Mer du Nord est composé d’une vaste plateforme multimodale, logistique et industrielle regroupant 13 000 emplois directs et 350 entreprises, de 2 terminaux conteneurs tri-modaux (284 000 EVP en 2008) et 1 portique colis lourds jusqu’à 460 tonnes.
Réseau routier
Au croisement des axes autoroutiers européens : Paris-Munich et Hambourg-Milan, la situation géographique de Strasbourg permet un accès rapide à l’ensemble des villes de l’espace transfrontalier du Rhin Supérieur, ainsi qu’aux principales métropoles du Nord, de l’Est et du Sud de l’Europe.
Chiffres clés : Strasbourg et son agglomération
L’Eurodistrict
Un projet ambitieux dans lequel se sont engagées les 28 communes de la Communauté urbaine de Strasbourg aux côtés des 51 communes de l’Ortenau de 880 000 habitants répartis sur 79 communes et 2176 km².
Ce nouveau mode de coopération transfrontalière facilite la mise en oeuvre d’actions visant à améliorer le quotidien des habitants de part et d’autre du Rhin. Cette nouvelle forme de gouvernance transfrontalière de proximité implique de nombreux changements structurels et doit prendre en compte tant les différences culturelles et démographiques qu’économiques.
En février 2009, l’Eurodistrict a acquis un statut juridique propre de GECT (groupement européen de coopération territoriale) qui lui permet d’avoir un budget autonome et du personnel dédié. De droit français, il siège à Strasbourg mais dispose d’un secrétariat situé à Kehl. Son Conseil, qui se réunit très régulièrement, compte 48 élus français et allemands, d’égale parité. Il est actuellement présidé par Roland Ries, Maire de Strasbourg, secondé par un vice-président, le Landrat de l’Ortenau, Frank Scherer.
L’ambition affichée de l’Eurodistrict Strasbourg-Ortenau est de devenir à terme « un laboratoire de référence des réglementations européennes ».
Les projets sont nombreux et trouvent déjà des réalisations concrètes dans certains domaines tels que la santé publique, l’apprentissage et la formation professionnelle, le sport, les formalités administratives, le bilinguisme, l’environnement et les loisirs.
Quelques chiffres 79 communes :
28 communes (Communauté urbaine de Strasbourg)
51 communes (Ortenau)900 000 habitants, densité 230 habitants au km2 pour l’Ortenau et 1 500 habitants au km² pour la CUS2200 km² (dont CUS 315 km²)500 000 emplois 60 000 étudiants
La CUS
Quelques chiffres* :Emploi total (salarié et non salarié) au lieu de travail : 244 330, Employés 29%,professions intermédiaires 28 %,ouvriers 20%, cadres 19%,artisans, commerçants et chefs d’entreprise 4 %
Source : INSEE Revenus nets imposables par foyers fiscaux imposés en 2007 : 32 967 €
2 nouveaux pôles écotechnologiques labellisés en 2010
Alsace Energivie
Qualité des eaux continentales / Santé des populations et des écosystèmes
L’Université de Strasbourg
4ème université de France
15ème place dans le classement mondial de Shanghai 2009 pour la Chimie
76 unités de recherche
1er Collège doctoral européen de France
10 écoles doctorales et 2550 doctorants
2 500 chercheurs
52 000 étudiants sur le site universitaire et scientifique dont 42000 à l’UdS
22% d’étudiants étrangers
* retrouver toutes les informations dans notre plaquette « Les chiffres clés Edition 2010 »
Strasbourg à l’horizon 2020
? Le choix du développement économique durable
La métropole strasbourgeoise construit l’avenir en développant sur le plan économique les nouvelles formes de la construction européenne de demain.
Strasbourg et son agglomération s’appuient sur un partenariat renouvelé avec l’ensemble des acteurs économiques et institutionnels pour capitaliser les énergies autour de l’entrepreneuriat et de l’innovation afin de; rayonner sur un double marché (franco-allemand), explorer des projets créatifs relevant de toutes les dimensions économiques, sociales, culturelles et solidaires.
Une ambition…
?Conquérir des parts de marché dans la compétition des territoires métropolitains en se dotant d’une stratégie d’attractivité et de développement économiques. Atteindre le rang de métropole économique européenne en devenant une métropole transfrontalière et européenne achevée à 360degrés, envisageant son développement économique à l’échelle de l’Eurodistrict ; s’imposant comme la locomotive économique et le point d’ancrage de la région métropolitaine du Rhin supérieur ; s’affirmant comme une métropole interconnectée aux réseaux européens internationaux sur ses secteurs forts et ses valeurs clés.
?Incarner le territoire d’innovation et d’expérimentation, véritable laboratoire européen où se construit l’avenir. Etre le berceau de la recherche et de l’innovation en développant un dispositif de transfert et de valorisation performant pour encourager la création d’entreprises innovantes. Etre un territoire d’anticipation où sont expérimentées, parallèlement aux process économiques de demain, les innovations institutionnelles, culturelles, sociales et sociétales
?Proposer une offre territoriale adaptée aux standards des grandes métropoles internationales. Métropole créative qui accompagne les porteurs de projets et créé les conditions favorables à l’activité économique et à l’émergence de nouveaux secteurs d’activités
?Offrir un développement économique responsable et durable au sein d’une métropole humaine, attentive à l’innovation sociale et à la valorisation des compétences. Une métropole qui se différencie par l’excellence de la qualité de vie, ses valeurs de dialogue et d’humanisme et une tradition coopérative et partenariale forte.
Strasbourg retrouve sa compétitivité économique. C’était l’objectif de la stratégie Eco 2020, véritable feuille de route qui orientera l’ensemble de ses actions dans ce domaine.
?4 secteurs clés, moteurs de développement économique pour les prochaines années : Technologies médicales et thérapies nouvelles, Mobilités innovantes et multimodales, Tertiaire supérieur international, Activités créatives.
Ils constituent les leviers sur lesquels l’agglomération va concentrer ses efforts d’accompagnement et de développement, sans toutefois négliger les secteurs traditionnels de l’économie strasbourgeoise.
Ces secteurs sont au coeur de l’ambition économique strasbourgeoise pour les dix prochaines années :Technologies médicales et thérapies nouvelles : Technologies médicales, Bio-médicaments, TIC et santé;Mobilités innovantes et multimodales : Logistique multimodale, Véhicules propres, Transports collectifs doux; Tertiaire supérieur international : rencontre économique, propriété intellectuelle, management public européen, place tertiaire et financière; Activités créatives : multimédia et applications, production culturelle, artisanat d’art.
Ces secteurs clés sont déclinés à travers des plans d’actions sectorielles permettant de jalonner la démarche à suivre.
L’agglomération strasbourgeoise va accroître son offre territoriale au travers des projets phares suivants, qui incarnent le positionnement « Strasbourg : laboratoire européen ».
?7 projets phares pour impulser la stratégie et incarner l’ambition du positionnement; un quartier d’affaires international : pôle de centralité visible et attractif pour soutenir le développement du tertiaire supérieur international; un grand projet urbain transfrontalier : renforcer la dimension transfrontalière de la métropole par un axe fort du lien urbain et économique avec l’Allemagne; une stratégie d’accessibilité internationale : capacité d’effectuer 1 A/R dans la journée entre Strasbourg et les principales villes européennes grâce à l’intermodalité entre LGV et aéroports internationaux; un parc d’innovation international : creuset de l’implantation d’activités innovantes de dimension internationale pour accélérer l’ancrage de Strasbourg dans les réseaux d’innovation internationaux; un pôle technologies médicales au sein de l’hôpital : fédère sur un lieu unique médecins, laboratoires et patients pour devenir la référence européenne en termes de développement de technologies et instrumentation médicales et chirurgicales; une pépinière franco-allemande : offrir à l’entrepreneuriat de l’immobilier dédié au coeur du marché binational; un dispositif complet d’accompagnement à la création d’entreprise : faciliter le parcours des porteurs de projets, valoriser les compétences et développer l’emploi en renforçant la performance de Strasbourg en matière de création et de reprise d’entreprise.
? Présentation des projets concrets qui feront de Strasbourg un véritable «laboratoire européen»
Le développement se prévoit, s’anticipe et s’organise, surtout lorsqu’il a trait au tissu urbain.
A nos yeux, le développement urbain repose sur un premier principe : éviter le risque d’étalement de l’agglomération qui entraînerait à terme un mitage de la campagne et des zones périurbaines et rendrait difficile tout déplacement vers et depuis le centre de l’agglomération. C’est donc vers une ville compacte, moins exigeante en espace, que nous nous dirigeons. Une ville compacte implique une certaine hauteur et une certaine densité urbaine.
1. Quartier d’affaires International Wacken Europe
Au coeur de la ville et à proximité immédiate des institutions européennes, ce projet ambitieux est axé sur la rencontre économique internationale (congrès, séminaires et conventions d’affaires) et adossé à trois supports : le Palais des Congrès, le Parc d’expositions, le quartier d’affaires international. La construction d’un vaste quartier d’affaires international à l’horizon 2015 vise à renforcer le positionnement de Strasbourg sur le tertiaire supérieur international.
Surface totale : 120 hectares
Coût: budget d’investissement de 280 M€
Le Palais de la Musique et des Congrès (PMC)
Restructuré et modernisé, le PMC sera complété par une extension de 8000 m² qui offrira des surfaces d’exposition, de commission et de restauration. La nouvelle construction sera livrée en 2014.
Le Parc des Expositions (PEX)
Un nouveau Parc plus compact, répondant aux nouvelles normes et exigences du marché, sera bâti, offrant une synergie de fonctionnement avec le PMC. Il sera constitué de 50 000 m² de halles couvertes dont 30 000 m² de surfaces d’exposition.
Le tout nouveau PEX sera livré en 2016.
Un nouveau quartier d’affaires international
Il aura une superficie de 150 000 m² SHON et renfermera des bureaux, un centre d’affaires, un hôtel, des logements, commerces et services en tous genres.
Ce nouveau quartier sera réalisé en 2 phases, 1ère phase de 60 000 m² entre 2013 et 2017, 2ème phase de 90 000 m² entre 2017 et 2023.
2. L’axe de développement transfrontalier STRASBOURG-KEHL
La Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg poursuivent le projet de développer leur urbanisation jusqu’au Rhin en vue de se donner une façade sur les rives de ce fleuve transeuropéen chargé de symboles.
L’axe Strasbourg-Kehl est devenu le coeur d’une aire métropolitaine transfrontalière de près d’un million d’habitants, de part et d’autre du Rhin, l’Eurodistrict Strasbourg-Ortenau.
Le développement de ce territoire est constitué d’un ensemble cohérent de projets articulés autour des bassins et de la route du Rhin. C’est ici que se joue l’avenir de l’agglomération.
Concrètement… Au Heyritz, un nouveau quartier va être aménagé comprenant un parc le long d’un canal et à proximité du port de plaisance, 250 logements, des bureaux et un hôtelL’Etoile
La Cité de la Musique et de la Danse, le centre commercial Rivétoile, ainsi que 250 logements et 13 000m² de bureaux ont déjà été livrés.
Depuis 2010 est engagée l’urbanisation de la seconde tranche (St Urbain, Lombardie, Schluthfeld), soit 57 000m² avec des programmes de logements (500 à 600) et de bureaux à hautes performances énergétiques, très bien desservis, à proximité de toutes les facilités urbaines.
Des possibilités de programmes en autopromotion seront offertes
Programme
Une deuxième centralité à l’intersection des axes Est-Ouest des logements; un centre commercial urbain; un parc public de stationnement de 1500 places; des bureaux; la Cité de la Musique et de la danse; de vastes espaces publics; 140 000m² de surface hors oeuvre nette au total.
Durée du projet 1999-2015
Presqu’île André Malraux (PAM)
Maillon essentiel de l’axe Strasbourg-Kehl, le site Malraux développe l’ambition d’un quartier mixte, entre logements, bureaux, activités, résidences étudiantes, hôtels, espaces culturels, de restauration et de loisirs. Entre Rivétoile, la Cité de la Musique, la Médiathèque et les Cinémas d’une part et l’écoquartier Danube d’autre part, il s’agit d’y réunir les atouts qui pourront à terme constituer une seconde centralité, complémentaire au centre historique de la Ville.
Un peu plus à l’est, la presqu’ile Malraux va entrer dans une nouvelle phase de construction. Ce projet, comprenant la réhabilitation de plusieurs friches industrielles, vaut d’être examiné de plus près car il incarne la nouvelle dynamique de Strasbourg.
Le projet prévoit aussi la réalisation d’une cité universitaire internationale. Il accueillera également des équipements culturels et de loisirs (galeries d’art, lieux de spectacles, restaurants), des commerces, bureaux et logements.
Il s’agira d’un nouveau lieu de vie, au bord de l’eau, emblématique de l’extension du coeur de l’agglomération vers les rives du Rhin.
Deux projets sont actuellement en compétition portés pour l’un par Bouygues et pour l’autre par Icade.
Calendrier fin septembre 2010 : choix de l’investisseur Icade, novembre 2011 : début des travaux, 2013 : premières livraisons
Par ailleurs, lors d’un Conseil municipal commun en mai 2009, les élus de Strasbourg et de Kehl ont adopté un schéma directeur transfrontalier pour l’aménagement du secteur compris entre le bassin Vauban et la gare de Kehl.
Ce projet s’articule autour de quatre séries d’opérations
le désenclavement du quartier grâce au prolongement du tramway jusque Kehl; la création au bord du Rhin d’un nouveau quartier d’environ 1.500 logements, comprenant également des commerces et des services ; la réalisation de la liaison interports, destinée à délester la route du Rhin d’une partie des poids lourds qui l’encombrent depuis trop longtemps; la requalification de l’actuel quartier du Port du Rhin (revalorisation de l’habitat, restructuration de nombreux équipements publics avec la construction d’un nouveau centre médico-social, d’une maison de santé, d’une maison de l’enfance transfrontalière, d’un terrain de football de type « hat trick » etc.)
L’opération a été décomposée en 5 lots
Lot 1 Tour Seegmuller : projet SERS
Destinée à accueillir la Cité Universitaire Internationale constituée d’une résidence pour étudiants de 120 chambres environ, et, dans les étages inférieurs, d’un pôle regroupant tous les services d’accueil concernés par la vocation internationale de l’Université de Strasbourg. La configuration actuelle du bâtiment sera conservée.
Lot 2 L’Entrepôt : Projet Icade
Réservé à une vocation restauration, loisirs et hôtellerie selon un concept original et décalé. 2000m² de locaux à usage culturel, logements de grand standing
Lot 3 Constitué par une tour signal, un concours va être lancé rapidement
Ce bâtiment sera composé de fonctions hôtelières sur une douzaine de niveaux, puis des appartements dans les étages supérieurs. Ces logements seront d’un niveau très qualitatif, moderne et écologique, n’existant pas encore à Strasbourg, mais dans une gamme très élevée.
Les lots 4 et 5 sont encore en cours de réflexion, le lot 5 (bassin d’eau) doit être traité par la SERS qui y implantera des équipements d’animation et à vocation culturelle, susceptibles d’attirer un large public.
Danube
L’écoquartier Danube se caractérise par une approche intégrée du développement durable dans ses composantes environnementale, sociale et économique.
C’est un quartier qui a pour ambition d’être connecté à son environnement, de favoriser la mobilité durable, d’être économe en espace, d’offrir une grande mixité de fonctions et de modes d’habitation, d’économiser les ressources en énergie et en eau, d’améliorer le confort et la qualité de vie des habitants et des usagers.
Programme :
Reconversion d’une friche portuaire au coeur de l’axe Heyritz-Kehl. 85 000 m² de SHON comprenant 650 logements, 20 000m² de commerce et bureaux, 1 équipement scolaire et petite enfance, 1 EHPAD de 84 lits
Durée du Projet : 2010-2018
Deux rives
Le territoire compris entre le secteur Danube et la gare de Kehl concentre les enjeux de l’ouverture de l’agglomération sur le Rhin. Il s’agit ici d’inventer un nouveau quartier ouvert sur le Rhin et les bassins portuaires où cohabiteront des fonctions urbaines traditionnelles, de grands équipements structurants et des activités industrielles.
Le programme
Pôle de Santé et Services regroupant sur 4000m², des bureaux, une Maison Urbaine de Santé et un Centre Médico Social. Sur l’îlot Mercure, 360 logements BBC « Bâtiments Basse Consommation » dont 80 logements sociaux, 240 logements en accession à la propriété, une résidence services de 40 logements, ainsi que des locaux en rez-de-chaussée pour des commerces et de l’activité.
Démarrage des travaux 2011
Livraison des logements : 2013
3. Opération Plan CAMPUS : le Campus de demain
« Un projet ouvert»: une méthode ordonnancée et souple
Le développement durable, la qualité de l’insertion urbaine, les liens avec les entreprises, l’amélioration de la qualité de vie sur les sites sont des traits marquants du projet strasbourgeois, qui s’attache également à tirer parti de l’optimisation du patrimoine existant. Après l’annonce d’une allocation en capital pour l’Université de Strasbourg, lors de son inauguration en février 2009, les réflexions permettant de passer d’un appel à projet à des opérations réelles, ont été lancées. Notre approche a été séquencée en plusieurs grandes étapes : tout d’abord, affirmer une nouvelle ambition pour l’Université ; ensuite, définir un cadre de cohérence partagé ; enfin, arrêter des actions prioritaires et les réaliser rapidement.
Un premier « dessein » où se profilent les contours d’un campus plus vert et plus ouvert à la ville.
Des opérations précisées et hiérarchisées
Les lignes directrices du projet strasbourgeois sont l’embellissement, l’aménagement et le développement.
L’embellissement : il s’agit de prolonger, avec un regard contemporain, le principe d’un « palais ordonnancé autour d’un jardin », développé sur le campus historique, par la mise en place d’un parc central sur le campus de l’Esplanade. Les rénovations des bâtiments emblématiques du campus – tels le Patio, la faculté de droit, l’institut de mathématiques et la Tour de Chimie -, se feront dans l’esprit architectural d’origine.
L’aménagement de lieux de vie fonctionnels, d’une grande modularité, éco-responsables, seront érigés dans un second temps. Ces véritables pièces urbaines témoigneront d’un campus adapté à ses usagers, plus attractif et plus lisible. On pourra indifféremment y étudier, s’y détendre et s’y retrouver.
Le développement : avec un campus déjà considérablement densifié au fil des ans, l’Université a fait le constat d’une nécessaire extension par delà ses limites actuelles. C’est aussi l’occasion d’une reconquête de terrains industriels du XIXe siècle. En témoigne le travail de restructuration, de l’ancien silo Seegmuller, qui accueillera la Maison de l’accueil international, à proximité de la cité Universitaire Paul Appel ou la volonté de marier sciences de l’ingénieur et arts, à la manufacture des tabacs.
1. Stationnement
2. Campus vert aménagement
3. Centre sportifs, cafétéria
4. Bâtiment d’accompagnement
5. Maison de l’étudiant – Learning Center
6. Hôtel des chercheurs – Faculté club
7. Résidence des personnels et des chercheurs
8. Maison des personnels
9. Ex tour de chimie – logement
10. Restructuration de la cité Paul Appell
11. Rénovation énergétique et mise aux normes Patio
12. Rénovation énergétique et mise aux normes Droit
13. Rénovation énergétique et mise aux normes Math
14. Rénovation énergétique et mise aux normes Botanique
15. Pôle science, culture et société (planétarium)
16. Pôle science, culture et société (collections)
17. Rénovation et extension INSA
18. G2El – option Manufacture (pas représentée)
19. Extension ISIS
20. Extension insectarium et IBMC
21. École de management (pas représentée)
22. Maison de l’accueil international
Les opérations se précisent. Les constructions projetées offrent un nouvel équilibre au campus. Les jardins réorientent les bâtiments, mis en valeur et ainsi plus lisibles.
4. Programme d’Investissement d’Avenir PIA
? Le contexte et la stratégie
L’agglomération strasbourgeoise est située dans l’une des régions les plus dynamiques d’Europe : 35 millions d’habitants vivent dans un rayon de 200 km autour de Strasbourg, dont 6 millions d’habitants dans la région du Rhin supérieur. En 2010, Strasbourg est classée 2ème dans le Top 100 des villes pour entreprendre.
Les objectifs de développement que se sont fixés la Ville et la Communauté urbaine, en partenariat avec tous les acteurs du développement économique, visent à la fois le renforcement de la visibilité internationale et du rayonnement européen que l’Université confère à Strasbourg et à sa Communauté urbaine, et la construction, à travers la mise en oeuvre du projet EcoCité, d’une ville attractive pour les habitants et innovante pour les opérateurs économiques.
Ces objectifs se déclineront sur 4 secteurs industriels prioritaires de la feuille de route stratégique Strasbourg Eco 2020: Santé, Transport et mobilité, Economie verte et Economie numérique. Ils s’appuieront sur de fortes synergies avec les autres collectivités (Région Alsace et Conseil Général du Bas-Rhin) et les pôles de compétitivités du territoire (Alsace BioValley, Hydreos, EnergiVie).
? Le Programme Investissement d’Avenir
Le Président de la République a présenté, en décembre 2009, les cinq priorités nationales: enseignement supérieur et formation, recherche, industrie et PME, numérique et développement durable, qui seront financées par l’emprunt national à hauteur de 35 milliards d’euros. Les projets qui seront mis en oeuvre à Strasbourg s’inscrivent pleinement dans l’ambition nationale qui fonde le Programme d’Investissements d’Avenir.
Depuis le lancement des appels à projets en septembre 2010, les acteurs strasbourgeois se sont mobilisés pour bénéficier de l’effet de levier stratégique que représentent ces Programmes. Au total, ce sont plus de 40 projets qui ont été – ou vont être – déposés aux différents appels à projets. Certains d’entre eux ont déjà été labellisés (équipements d’excellence, lignes de transport en commun), d’autres sont en cours d’instruction et vont être prochainement déposés. L’implication et le soutien des acteurs économiques sont des critères décisifs pour la labellisation.
Pour vous aider, voici 7 projets phares de Strasbourg qui renforceront le positionnement et l’attractivité de l’agglomération pour les 10 prochaines années.
Les projets phares Initiative d’Excellence « Par delà les frontières, l’Université de Strasbourg »
Faire partie des 20 meilleures Universités européennes en matière de recherche, de formation et de transfert de savoir // Guy-René PERRIN, délégué Général au Grand Emprunt, Université de Strasbourg (guy-rene.perrin@unistra.fr)Institut Hospitalo Universitaire : « Institut de Chirurgie Mini-Invasive Guidée par l’Image »
Devenir le centre de référence internationale en matière de soins, recherche et formation en Chirurgie Mini-Invasive Guidée par l’Image // Jacques MARESCAUX, Président, IRCAD (jacques.marescaux@ircad.u-strasbg.fr)BTEC: « Centre de formation aux métiers de la production en salle blanche »
Devenir le Centre de formation de référence en Europe pour tous les métiers de la production en salles blanches // Guillaume EBELMANN, Directeur des Opérations, Alsace BioValley (guillaume.ebelmann@alsace-biovalley.com)
PIMTA: Centre d’Imagerie Moléculaire de Recherche Translationnelle
Créer une infrastructure performante de recherche et développement pour suivre la conception d’un médicament, de la molécule jusqu’à l’homme // Elee DUCONSEILLE, Directeur des projets, Alsace BioValley (elee.duconseille@alsace-biovalley.com)Ecocité / Ville de Demain
Devenir une métropole durable, attractive, ouverte sur le Rhin et l’Europe
// Stéphanie STRASSER, chef de service Projets urbains, Communauté urbaine de Strasbourg (stephanie.strasser@strasbourg.eu)Le mobile sans contact : intégrant les innovations de l’économie numérique
Renforcer le positionnement de Strasbourg comme laboratoire européen en matière d’économie numérique au travers du déploiement de services mobiles sans contact innovants et d’un travail partenarial avec les entreprises du territoire // Sandrine ANDRÉ, Chargée de mission développement économie numérique, Communauté urbaine de Strasbourg (sandrine.andre@strasbourg.eu)Institut énergie + «Institut de l’Energie et de la Construction Décarbonées»
Devenir l’un des principaux lieux en Europe de partage de l’innovation et des connaissances pour faire émerger les prototypes d’une société décarbonée // Maxime DEPINOY – Chargé de mission développement économie verte, Communauté urbaine de Strasbourg (maxime.depinoy@strasbourg.eu)
Présentation des partenaires (CCI, WRO + petite présentation générale de la participation de nos partenaires privés)
?Présence de la CCI de Strasbourg et du Bas Rhin
La métropole strasbourgeoise s’inscrit dans une double dynamique économique un projet partagé : Strasbourg Eco 2020, une (nouvelle) culture de la collaboration : les acteurs publics et économiques se sont engagés à oeuvrer désormais ensemble, de manière plus efficace et lisible, en vue de mieux accompagner le tissu économique existant et de faciliter l’implantation de nouvelles entreprises sur le territoire de la CUS.
La CCI de Strasbourg et du Bas Rhin est un établissement public à vocation économique représentant les quelque 35 600 entreprises du commerce, de l’industrie et des services du Bas-Rhin (250 000 salariés). Sa politique générale et son budget sont définis par une assemblée de chefs d’entreprises, élue par leurs pairs.
Ses missions, défendre les intérêts de l’entreprise auprès des pouvoirs publics, conseiller et orienter l’entreprise depuis sa création, dans toutes les phases de son développement, construire un environnement favorable à l’entreprise.
Ses prestations aux entreprises, aide à la création et à la transmission d’entreprises, accompagnement des jeunes entreprises, informations économiques et juridiques, Centre de Formalités des Entreprises, appuis et conseils aux commerces et à l’hôtellerie restauration, formation, gestion des compétences (Pôle Formation CCI, Ecole de Management de Strasbourg, CEFPPA), sensibilisation des entreprises aux technologies de l’information et de la communication, accompagnement à l’exportation, accompagnement à l’innovation, développement industriel, Qualité Sécurité Environnement
Aménagement du territoire, Plan de déplacement d’Entreprises
La CCI de Strasbourg est également gestionnaire de l’Aéroport International de Strasbourg-Entzheim.
CCI 10 place Gutenberg
67000 Strasbourg
Tél.03 88 75 25 25
Direction Communication : Patrick Heulin
p.heulin@strasbourg.cci.fr 03 88 75 25 98 – www.strasbourg.cci.fr
?L’Université de Strasbourg
Unique, par définition!
Un exemple unique et pionnier de fusion des universités
Depuis près de deux décennies, les universités strasbourgeoises ont progressivement instauré une politique de site à trois niveaux : strasbourgeois, alsacien et rhénan. Deux réalisations majeures ont ponctué cette période : en 1989, la création de la Confédération européenne des universités du Rhin supérieur (Eucor) avec l’Université de Haute-Alsace et celles de Karlsruhe, Fribourg et Bâle et en 1991, la création du Pôle universitaire européen, structure de coordination du développement du site universitaire strasbourgeois. Elles ont ainsi jeté les bases d’une coopération interuniversitaire renforcée au fil du temps par des actions conçues et portées en commun.
Fortes de ces acquis, de collaborations solides et d’axes de développement communs, les trois universités ont eu la volonté de franchir un nouveau cap en réunissant au sein d’une même université leur potentiel d’enseignement et de recherche. C’est ainsi qu’est née le 1er janvier 2009 l’Université de Strasbourg qui prend sa place au sein de l’espace européen de l’enseignement supérieur et aborde avec force la compétition internationale.
Pluridisciplinaire et efficiente par engagement
La diversité et la richesse des formations, en un lieu unique
Par leur concentration en un même lieu et leurs synergies, les formations de l’Université de Strasbourg offrent une diversité d’enseignements exceptionnellement riche.
Chaque formation doit mener l’étudiant sur la voie de la réussite du diplôme visé dans le cadre de son projet professionnel et personnel.
Les méthodes d’enseignement elles-mêmes se diversifient : présence en amphithéâtre et en salle de cours se conjuguent de plus en plus avec une progression personnelle, grâce aux outils et contenus pédagogiques mis en ligne.
L’apprentissage et la maîtrise des langues, les segments de cursus réalisés dans une université partenaire et la co-diplômation ouvrent aux étudiants des perspectives européennes et au-delà.
Les voies d’obtention du diplôme elles aussi se diversifient et s’enrichissent, entre formation initiale, validation des acquis de l’expérience et formation tout au long de la vie.
Au final, les portes sont grandes ouvertes entre une insertion professionnelle rapide, la poursuite d’études longues ou les carrières de la recherche.
Internationale par ambition
L’excellence de la recherche pour moteur
L’Université de Strasbourg se construit autour de l’ambition de compter parmi les meilleures universités de recherche. Elle bénéficie d’atouts majeurs et largement reconnus au sein de la communauté universitaire: des compétences scientifiques incontestées, une réelle pluridisciplinarité et une culture européenne et internationale fortement ancrée.
L’Université de Strasbourg doit sa renommée mondiale à ses équipes de recherche qui couvrent l’ensemble des grands champs disciplinaires et relèvent pour près de la moitié d’entre elles d’un partenariat avec des organismes de recherche. Elle compte aussi une quinzaine d’académiciens et 43 enseignants-chercheurs membres de l’Institut universitaire de France (IUF). Elle constitue un pôle scientifique de premier rang au niveau national et européen, notamment en chimie avec un Réseau thématique de recherche avancée (RTRA) et un prix Nobel.
La dimension européenne est au coeur des travaux menés par certaines équipes hébergées à la Maison interuniversitaire des sciences de l’Homme-Alsace (Misha).
Dans une université forte de la richesse de ses enseignements de langues vivantes et classiques, nombre d’équipes étendent leurs recherches au-delà de l’Europe : du Canada au Japon, de l’Iran au Chili, au Proche-Orient et à l’Asie Centrale.
?La WRO
La région économique de l´Ortenau: Où le travail et la qualité de vie vont de pair.
Et où l’on continue de penser vers l’avenir avec des connexions exceptionnelles.
Accès rapide
Le magazine « Stern » a classé la région parmi les meilleures de toute l´Allemagne pour y vivre et pour y investir. Le dernier trend : Des Citoyens français viennent en grand nombre vivre dans l´Ortenau – attirés par la région et par des offres d´emploi attractives et des prix de logement bas. Après tout, l´Ortenau se partage une frontière de 60 km avec la France et de nouveaux ponts à travers le Rhin garantissent un accès rapide vers la France.
Avec l´autoroute a 6-voies A5 et les trains de grandes vitesse allemand et français, trois des plus importantes voies de trafic se trouvent dans la région. Les ports de Kehl et de Strasbourg garantissent un transport facile de larges et lourdes marchandises. Les aéroports régionaux de Lahr, Baden-Baden, Strasbourg et les aéroports internationaux de Frankfurt et Bâle assurent une connexion rapide. L´arrivée du TGV-Est à Strasbourg fut fêtée des deux côtés du Rhin – Paris est maintenant à deux heures de train. Cette infrastructure excellente attire beaucoup d´entreprises dans l´Ortenau.
Nos partenaires pour le MIPIM : Black Forest Airport & Business Park Lahr
Une des plus grandes opportunités de développement se trouve dans une très belle offre de sites avec d´excellentes connexions de transports.
Par exemple, de très grandes opportunités sont offertes par le Black Forest Airport & Business Park. Le Park offre les quatre moyens de transports les plus importants : voie-train-air-eau. Vous pouvez acquérir des sites exploités dans le secteur industriel et commercial à partir de 45 Euro/m².Business Park for the Offenburg Region Offenbourg représente avec ses 59.200 habitants la plus grande ville de l´Ortenau et avec 34.200 employés, le plus important marché du travail dans l´espace économique du Pays de Bade. L´accent est mis sur plusieurs secteurs clés : médias, construction de machines, électrotechnique et prestation de services.
Offenbourg est en plus une ville importante pour l’accueil de salons, congrès et expositions. Avec l´école supérieur des sciences appliquées à la technologie, l´économie et les média, Offenbourg se trouve être sur l’un des sites le plus porteur au niveau de l’éducation dans la région du Rhin supérieur.
Grossmann Group
Une architecture exigeante conjuguée avec l’expertise économique et la plus haute fonctionnalité : voilà ce que représente l’entreprise Grossmann Architekten. Depuis 20 ans, ce bureau d’architectes installé à Kehl réalise des concepts visionnaires pour l’industrie, le commerce, les pouvoirs publics et les maîtres d’ouvrage privés. « Les entreprises ont confiance en notre travail parce qu’elles savent que leurs nouveaux bâtiments améliorent le flux de communication, augmentent la motivation des collaborateurs et apportent aussi une contribution importante à l’image de l’entreprise », déclare Jürgen Grossmann, le directeur du Grossmann Group.Gengenbach – emplacement de marché dans le coeur du pays de Bade
La ville de Gengenbach est située au coeur de l’Europe, à proximité de Strasbourg, au milieu du Pays de Bade. Les surfaces industrielles profitent d’un bon réseau qui les rattache à l’autoroute A5 et aux chemins de fer de la Forêt Noire, elles bénéficient d’un emplacement optimal pour la production, l’artisanat et les services. Dès le début, la ville de Gengenbach et ses propres services publics apportent aux entreprises intéressées leur soutien dans tous les domaines concernant l’approvisionnement en matières premières et le traitement des déchets. Entre Forêt Noire et vignobles, Gengenbach offre aux entrepreneurs l’une des plus belles vieilles villes historiques d’Allemagne avec un haut niveau de qualité de vie.
WRO GmbH, Manfred Hammes, In der Spöck 10, 77656 Offenburg, Germany,
Phone: 0049 781 9686731, e-mail: manfred.hammes@wro.de – www.wro.de
?La SERS
Depuis sa création en 1957, la SERS a pour vocation d’accompagner et de mettre en oeuvre les projets de développement élaborés par les instances politiques locales. Le statut de Société d’Economie Mixte de la SERS est l’une des clés de la réussite de cette démarche. Dans la gestion de son activité, la SERS s’appuie sur les principes de dynamisme, de rigueur et de compétitivité du secteur privé, assumant l’ensemble des risques qui y sont liés. Ses compétences et la qualité de ses réalisations font de la SERS un acteur déterminant de l’action politique locale, un partenaire privilégié des entreprises de la région. Proche des élus et des collectivités locales, la SERS mène ses actions dans le respect de l’intérêt général et s’adapte à l’évolution de la société en prenant en compte pour chaque projet les nouveaux enjeux sociaux, économiques et environnementaux liés au développement durable.Des équipes pluridisciplinaires.
Pour réaliser les projets qui lui sont confiés, la SERS s’appuie sur une équipe pluridisciplinaire fortement motivée par la diversité et la richesse des missions à accomplir.
La conduite des opérations d’aménagement et de construction est assurée par une équipe de chefs d’opérations, se chargeant chacun de la coordination d’ensemble de tous les éléments d’un projet. Ils disposent, sur les aspects techniques, de l’assistance d’une équipe de spécialistes : urbanistes, architectes, ingénieurs, juristes, financiers, économistes et géographes.Une capacité financière importante.
L’activité financière de la SERS est gérée dans le cadre d’un accord avec la Caisse des Dépôts et Consignations. Chaque projet en cours est suivi sur un compte individuel, l’ensemble étant regroupé au sein de la trésorerie opérationnelle distincte de la trésorerie propre de la société.
L’activité opérationnelle est financée de trois manières, les ressources spécifiques de la SERS, recettes sur cessions et fonds propres, les remboursements de travaux des différentes collectivités et des partenaires de chaque opération,les financements spécifiques à moyen ou long terme, souvent garantis par les collectivités locales.Des moyens techniques adaptés.
Pour réaliser au mieux son métier, la SERS a toujours cherché à s’équiper des moyens techniques les plus performants ; pour sa propre gestion et celle des organismes qu’elle administre, l’outil informatique est au coeur du dispositif. Faciliter et accélérer le transfert de l’information, fournir en temps réel les indicateurs utiles, développer la gestion prévisionnelle du budget de fonctionnement comme des opérations en cours, acquérir la capacité de traitement rapide du règlement des fournisseurs, ont constitué l’armature du cahier des charges de l’outil de gestion.
Aménager, premier métier de la SERS, l’aménagement constitue son activité traditionnelle.
En coordination avec les collectivités locales, la SERS prend en charge l’aménagement d’espaces et de sites complexes (espaces publics, quartiers résidentiels, zones d’activités économiques…).
Pour chaque projet, elle définit les conditions de faisabilité urbanistique, technique, financière et juridique. Elle prend également en compte les conditions d’une bonne intégration dans l’environnement existant, du choix des intervenants et elle assume la maîtrise d’ouvrage de l’ensemble.
Par son expérience, elle garantit ainsi la bonne fin d’aménagements de qualité, formant des ensembles cohérents, adaptés aux besoins de la collectivité et respectant l’ensemble des normes de financement, d’urbanisme et d’environnement.
Construire
La SERS a une activité importante de constructeur, qu’elle exerce pour le compte des collectivités locales, de prescripteurs privés ou en compte propre.
La SERS exerce ses activités de construction dans différents domaines tels que la culture, les sports, les loisirs, le retraitement des déchets, le stationnement, le secteur tertiaire, l’enseignement secondaire et supérieur, la petite enfance, l’accueil des personnes dépendantes ou encore la communication.
Pour le compte des collectivités locales concernées, elle mène à bien des projets de construction d’équipements neufs ou de rénovation et de mise en valeur de bâtiments, soit en assistance à maîtrise d’ouvrage, soit en assurant la maîtrise d’ouvrage déléguée.
Gérer
Cette activité de la SERS s’est développée dès les premières opérations d’aménagement, puisque l’entretien des espaces verts et de certains équipements a nécessité la mise en place de structures de gestion adaptées et pérennes.
L’activité de gestion de patrimoine occupe une place très importante dans l’ensemble des activités de la SERS, ses filiales et participations. Elle a en effet créé ou pris des participations dans des sociétés spécialisées dans la gestion d’équipements spécifiques pour le loisir, le stationnement, l’aménagement ou encore la construction de complexes immobiliers.
Elle assure également la gestion immobilière, juridique, financière, l’exploitation ou l’administration d’équipements, notamment certaines de ses propres réalisations. Cette activité, qui s’inscrit dans la continuité des précédentes, lui permet de préserver la pérennité des équipements qu’elle réalise, avec le souci de l’intérêt collectif.
Eric FULLENWARTH – Directeur Général de la SERS – 10 rue Oberlin BP 5011 – 67080 Strasbourg Cedex – Tél. 03 88 37 88 68 (e.fullenwarth@sers.eu – www.sers.eu)