Sophie RICHARD Viviane MAGRA Nicolas PATHIER

Finale des Meilleurs Jeunes boulangers de France Deux jeunes filles dans le trio gagnant !

La 32ième édition de la Finale des Meilleurs Jeunes Boulangers de France, organisée par la Fédération Régionale de la Boulangerie et Boulangerie Pâtisserie PACA-Corse, s’est déroulée pour la première fois en Provence Alpes Côte d’Azur, au CFA du Beausset. Cette compétition qui regroupait 22 jeunes candidats lauréats des sélections régionales, s’est conclue vendredi 23 novembre par la remise des prix au Conseil général du Var.

Le premier prix a été attribué à Viviane MAGRA, 17 ans, candidate représentant l’Alsace.

Elle est donc consacrée Meilleure Jeune Boulangère de France, une première depuis que ce concours existe.

Le deuxième prix revient à Sophie RICHARD, 17 ans représentant la Basse Normandie.

Le troisième prix a été attribué à Nicolas PATHIER, 18 ans, représentant la Haute Normandie.

Le quatrième prix a été accordé en ex aequo à 7 candidats représentant respectivement la Picardie, l’Auvergne, Rhône Alpes, le Nord Pas de Calais, La Bretagne, le Limousin et la Lorraine.

Finale des Meilleurs Jeunes Boulangers de France

 

Fait notoire, qui vient confirmer la tendance à la féminisation de ce métier : sur les 22 candidats, 6 sont des jeunes filles…

C’est sous les applaudissements et les félicitations de leurs enseignants, accompagnants et membres du jury et partenaires de cet évènement que s’est conclue cette cérémonie.

Claude BATEL, Président de la Fédération régionale, a félicité et remercié l’ensemble des candidats pour leur implication et le talent dont ils ont fait preuve, les engageant à poursuivre leur formation et leur quête de l’excellence dans l’exercice de ce métier.

Le boulanger travaille un produit noble, symbole de l’histoire de la civilisation. Spécialiste du pain et de la viennoiserie, il sait confectionner une grande diversité de pains spéciaux pour satisfaire une clientèle exigeante.Le boulanger doit s’organiser pour gérer son travail en autonomie. Il doit être rigoureux et pouvoir s’adapter à des changements de rythme de production, notamment quand l’activité devient plus intense à certaines périodes de l’année.