Le Ministre de l’Education, Luc Chatel, a réagi fermement aux propos de Madame Royal :
« Nous avons affaire à des élèves mineurs. L’autorité parentale est quelque chose qui compte. L’éducation nationale n’a pas à se subsituer au planning familial, seul autorisé à prescrire des contraceptifs à un enfannt mineur »  » et le Ministre de poursuivre  « Dans chaque lycée, il exsite un conseil d’éducation à la santé et à la citoyenneté qui, avec nos personnels de santé et d’éducation nationale, apporte des conseils aux élèves en matière de sexualité. »

Il faut dire que le dispositif que Ségolène Royal veut mettre en place puise dans les compétences des parents puisqu’il préconise l’accès à la contraception des jeunes filles « en toute confidentialité », le financement de la consultation médicale, celui des analyses de sang et l’achat d’un contraceptif pour 6 mois. »
Force est de  constater que la pilule du lendemain est en constante augmentation alors, ne doit-on pas ici donner une autre valeur à la relation sexuelle des adoslescents ? . 

Ségolène Royal ne devra t’ elle pas ensuite élaborer un projet de financement  sur  les conséquences d’une telle « ouverture  » et, « en toute confidentialité » pour les maladies vénériennes voire  le Sida…?
Entendons-nous bien ce projet concerne des adolescents, c’est à dire de  jeunes dépourvus, la plupart du temps, d’observations à un ordre reçu, dispensés d’objections. Des jeunes qui ne peuvent (pour la plupart) pas encore se servir de leur raison pour connaître, pour comprendre, pour juger.
N’est- ce pas faire d’une lame de bois coupée, par ricochet, retour  sur un problème encore beaucoup plus grave?

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